La ville s'étendait sous un ciel saturé de lumières artificielles, un enchevêtrement de néons et d’écrans holographiques projetant des reflets mouvants sur les immeubles de verre. Le voyant fixait son moniteur principal, où défilaient les séquences des présages qu’il avait effectuées ces dernières semaines. Une évidence s’imposait à lui : les des festivités avenirs n’étaient plus de plus stables qu’auparavant. Les instructions de la voyance par mail lui avaient généreusement accords de incliner des silhouette temporelles nettes, des trajectoires que rien ne semblait don endommager. Pourtant, ces derniers évènements, le jour d'après se recomposait marqué par ses yeux de façon semblable à un programme informatique en cours de modification. Des leviers apparaissaient et disparaissaient, des particularités insignifiants prenaient une importance inattendue, tels que si une doigt inapparent réécrivait au quotidien les contours de l'avenir. Il agrandit l’image d’une prédiction existante. Sur l’écran, il distinguait un croisée des chemins animé de Tokyo, traversé par un flot de passants sans noms. Il avait garanti une collision entre deux inconnus à cet cote propre, un souvenir conventionnel, mais qui devait s'attaquer un nombre de incidences importantes. Seulement, en empruntant la voie de l’image, il comprit qu’un des passants était différent de ce qu’il avait aperçu au préalable. Une masculinité en manteau blanc, qui n’était pas là dans sa première image. Les enseignements de la voyance par mail avec photo lui avaient appris à déceler les interférences temporelles, ces petits détails qui trahissaient une croissance inapparent dans la structure du sort. Il analysa la scène attentionnément, recherchant un preuve. Son regard s’arrêta sur l’horloge holographique flottant au-dessus du croisement. L’heure indiquée était semblable à celle de sa la première image, cependant la lumière ambiante semblait doucement différente. La voyance par mail lui avait immensément accords de charmer l’avenir comme un express figé, mais il commençait à embrasser que ce n’était plus la situation. Quelque chose perturbait le cours varié du destin. Les confiées ne mentaient pas. Le destinée n’était plus une ligne tracée avec certitude, mais un flux mouvant, en perpétuelle mutation. Il se rendit compte alors qu’il n’était pas normalement en train de contempler l’avenir. Il était toutefois en train de découvrir une éternité manipulé… et il ignorait encore par qui ou intention.
